ÉTUDE FRANCAISE DE 2017 TRÈS APPROFONDIE SUR LES 2 LANGUES

L’étude « professionnelle » de la France est basée sur une approche systématique et des tests in-situ, de cas en cas, pour tous les aéroports de France qui ont un nombre de mouvements entrant dans la recommandation EASA (50’000/an). Elle conclut objectivement à la conservation le la langue locale et l’anglais en second niveau si besoin. Pour les détails, tout est dans la socumentation ci-dessous. L’aéroport de Genève avec plus de 180’000 mouvement pas ans reste en français de base ! 

L’étude suisse de l’OFAC n’existe pas. Les quelques textes diffusés sont basés sur un ou deux anciens cas (détournés de leurs conclusions) où la langue n’était pas le problème. Rien ne permet d’étayer cette idée de vouloir supprimer la langue locale, seule langue avec laquelle la plupart des pilotes sont à l’aise. Cette approche, faite sans une étude-test digne de ce nom comme en France par exemple, est un fantasme décidé par quelques fonctionnaires non concernés, qui ont abusé nos autorités en leur faisant miroiter une sécurité « à la Suisse » dénuée de fondement,  et qui va simplement engendrer une « dégradation de sécurité » considérable, avec, à la clef, de vrais problèmes en perspective.

Il est important de dire STOP!

 

2017 : DGAC rapport d’étude volume 2

Rapport d’étude
Cas des aérodromes concernés

 Volume 2
Étude menée conformément au paragraphe
14015 de l’annexe du règlement SERA C

2017 : DGAC rapport d’étude volume 1

Rapport d’étude
Pertinence du paragraphe 14 015 en France

Volume 1
Étude menée conformément au paragraphe
14 015 de l’annexe du règlement SERA C